La plus récente attaque contre l’éducation postsecondaire consiste en des coupures importantes dans le programme SEED (Stage d’emploi étudiant pour demain).

 

 

Le financement total du programme a été réduit de quatre millions de dollars, le nombre de coupons a été réduit de presque la moitié et la durée du placement a également été réduite.

 

L’année dernière, sous un gouvernement libéral, plus de 2 000 étudiants ont pu trouver un emploi d’été dans le cadre de ce programme, dont plusieurs ont duré jusqu’à 14 semaines.

 

Cela intervient peu après l’annulation du programme de droits de scolarité gratuits, du programme d’allégement des droits de scolarité pour la classe moyenne et du la prestation pour l’achèvement des études dans le délais prévu.

 

« Permettre l’accès aux études postsecondaire est essentiel à notre croissance et à notre succès en tant que province», a déclaré Guy Arsenault. « Si nous voulons que nos jeunes restent et travaillent au Nouveau-Brunswick, si nous voulons développer notre économie et si nous voulons tirer les familles hors de la pauvreté, nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour assurer l’accessibilité. »

 

« L’élimination du programme de droits de scolarité gratuits réduit l’accès des personnes qui n’ont pas les moyens de se payer des études. À présent, le gouvernement dit aux étudiants qui ont besoin de l’argent que procure un emploi d’été Désolé, mais on vous enlève ça aussi ».

 

Mardi, M. Arseneault a présenté une motion et envoyé une lettre officielle au premier ministre lui demandant de reconsidérer sa décision et de rétablir le financement de SEED au niveau de 2018.

 

La motion stipule que l’Assemblée législative exhorte le gouvernement à rétablir le financement du programme SEED afin que les nombreux étudiants qui dépendent d’un emploi d’été pour financer leurs études postsecondaires puissent y avoir accès.

 

 

 

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