Le chef de l’Opposition officielle, Roger Melanson, estime que la province se trouve à un moment où, dans un contexte de pandémie de Covid-19 en évolution constante, un financement supplémentaire doit être accordé à la Santé publique pour qu’elle puisse utiliser les nouvelles technologies de dépistage qui deviennent disponibles à mesure que nous continuons à lutter contre la pandémie.

 

Tout récemment, on a appris que Santé Canada a approuvé un dépistage rapide de Covid-19. D’autres progrès dans le domaine du dépistage pourraient être soutenus par la Santé publique et la Province devrait fournir le financement nécessaire pour rendre ces outils disponibles.

 

Roger Melanson s’inquiète du nombre croissant de cas d’infection par le virus au sud de la frontière et dans d’autres provinces canadiennes. Nous savons que la quarantaine de 14 jours est efficace pour réduire la transmission du virus. Mais si de nouveaux outils deviennent disponibles et que la Santé publique estime qu’ils contribueront à la lutte contre le virus, le Nouveau-Brunswick doit envisager de les adopter. Il semble que nous soyons sur le point de voir une deuxième vague qui semble beaucoup plus significative que l’éclosion initiale au printemps.

 

« Le Nouveau-Brunswick est une porte d’entrée vers les autres provinces de l’Atlantique et de nombreuses personnes traversent encore nos frontières chaque jour. Si tout cela augmente le risque d’éclosion, il serait important que les nouveaux outils technologiques soient en place pour effectuer des tests et minimiser le niveau de risque. »

 

Roger Melanson note que la Dre Russell a confirmé que de nombreux cas actifs au Nouveau-Brunswick sont liés à des voyages internationaux. Il suggère que si la Santé publique estime que le Nouveau-Brunswick devrait envisager de tester les personnes arrivant dans nos aéroports, ou d’autres mesures, nous devrions nous assurer que les ressources sont en place pour le faire.

 

« Il s’agit d’utiliser tous les outils légitimes et certifiés disponibles pour assurer la sécurité des Néo-Brunswickois et Néo-Brunswickoises », a déclaré M. Melanson.

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