Miramichi (le 29 août 2020) – Un gouvernement libéral cherchera à accroître la population du Nouveau-Brunswick grâce à une stratégie qui permettrait de promouvoir énergiquement le Nouveau-Brunswick comme un lieu de travail et de vie sûr et abordable.

 

« Le Nouveau-Brunswick est confronté à une population vieillissante et plusieurs jeunes quittent la province. Cette tendance doit être rapidement inversée pour assurer la prospérité de notre province », déclare Kevin Vickers. « Un gouvernement libéral travaillerait avec Ottawa pour obtenir une plus grande autonomie en ce qui concerne le taux d’immigration et pour augmenter notre population de 10 000 personnes par an, pour un total de 100 000 nouveau Néo-Brunswickois d’ici 2030 ».

 

L’immigration étant de compétence fédérale, la province dispose d’un quota annuel d’immigrants. Une fois élu, le chef libéral Kevin Vickers est convaincu qu’il pourra travailler avec Ottawa pour augmenter le nombre d’immigrants et renforcer l’économie du Nouveau-Brunswick.

 

« La croissance économique de notre province est étroitement liée à la croissance de notre population », déclare Kevin Vickers. « Augmenter le nombre de personnes qui travaillent et vivent dans notre province augmentera également le nombre de personnes qui visitent nos entreprises locales et augmentera les revenus fiscaux qui soutiennent nos systèmes d’éducation et de santé ».

 

Le chef libéral veut envoyer un message clair aux anciens Néo-Brunswickois : « Le temps est venu de rentrer chez nous ».

 

« Il est temps de ramener nos familles au Nouveau-Brunswick. Une chose que la pandémie actuelle de Covid-19 nous a apprise, c’est que de plus en plus de gens sont prêts à travailler à partir de la maison », déclare Kevin Vickers. « Il est maintenant possible de travailler pour une entreprise basée n’importe où dans le monde et de vivre ici même au Nouveau-Brunswick, où nous avons une qualité de vie exceptionnelle et où la vie est plus abordable que dans d’autres provinces ».

 

Afin d’atteindre les Néo-Brunswickois qui ont quitté la province ainsi que les immigrants qui cherchent à venir au Canada, Kevin Vickers propose une approche basée sur le marché du travail. Un gouvernement libéral travaillera avec l’industrie pour déterminer ce qui est attrayant dans les différents secteurs et, ensemble, il élaborera une stratégie pour promouvoir le Nouveau-Brunswick comme une terre d’opportunités.

 

« Un exemple est celui des terres agricoles ; elles sont beaucoup plus compétitives aux yeux des agriculteurs des autres régions du Canada et au-delà, ce serait un argument de vente pour les gens du secteur agricole », affirme Kevin Vickers. « Nous devons veiller à ce que les personnes qui veulent s’installer dans notre province aient la possibilité de travailler dès leur arrivée ».

 

Un gouvernement libéral renouvellera le Programme pilote d’immigration au Canada Atlantique afin d’attirer davantage de travailleurs étrangers qualifiés et de diplômés internationaux.

 

« Nous devons montrer au monde ce que nous avons à offrir », affirme Kevin Vickers. « Nous avons des travailleurs compétents et une qualité de vie sans pareil. Nous devons nous concentrer sur les aspects positifs du Nouveau-Brunswick et promouvoir notre province à l’échelle nationale et mondiale ».

 

Le fait d’être la seule province bilingue du Canada est également un atout important. La francophonie mondiale compte plus de 250 millions d’habitants. Il s’agit d’un vaste bassin de candidats potentiels qui seraient prêts à s’installer au Nouveau-Brunswick, où la langue n’est pas une barrière.

 

« Blaine Higgs se concentre sur les coupures. Nous nous concentrons sur la croissance », rappelle Kevin Vickers. « La croissance de la population est essentielle et ce n’est qu’en travaillant en collaboration avec l’industrie et nos collègues fédéraux que nous atteindrons nos objectifs ».

 

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Ashley Beaudin

comms@nbliberal.ca

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