« Alors qu’il ne reste que dix mois avant la date limite pour l’achèvement de la révision de la Loi sur les langues officielles, les commissaires ont beaucoup de travail à faire en peu de temps. La tâche qu’ils se sont vu confier n’est pas facile.

 

La révision de la loi vise à assurer la protection continue des droits linguistiques des Néo-Brunswickois et Néo-Brunswickoises et à faire en sorte que les deux langues officielles soient également respectées par le gouvernement et dans la prestation des services gouvernementaux. J’espère que les commissaires se concentreront sur la révision telle que prévue par la loi, et qu’ils ne cèderont pas aux pressions du premier ministre qui cherche à diluer le processus en élargissant la portée de la révision pour y inclure l’éducation et le bilinguisme, qui ne sont pas couverts par la loi.

 

Il est important de rappeler que, selon la Constitution, la révision de la Loi sur les langues officielles ne peut se solder par le statu quo ou l’affaiblissement de l’égalité des deux langues et des deux communautés linguistiques officielles. »

 

 

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