Jeudi le 13 juin, l’Assemblée législative a voté à l’unanimité afin d’exhorter le gouvernement de travailler avec le syndicat des infirmières et infirmiers du N.-B., l’Association des infirmières du N.-B., les régie de santé Vitalité et Horizon, l’Université de Moncton, la University of New Brunswick et les collèges communautaires afin d’élaborer une stratégie exhaustive de formation, de recrutement, de maintien en poste et d’appui du personnel infirmer.

 

 

« Je suis extrêmement heureux de la tournure de la situation et de l’appui de l’ensemble des parlementaires de l’Assemblé législative à ma motion » a déclaré Jean-Claude D’Amours, député d’Edmundston-Madawaska-Centre et porte-parole en matière de santé pour l’opposition officielle, suite au résultat du vote.

 

Selon le député D’Amours, le Nouveau-Brunswick se trouve à la croisée des chemins et c’est aujourd’hui qu’il faut présenter un plan clair, afin de trouver des solutions permanentes à une situation alarmante. Le Nouveau-Brunswick aura besoin de recruter plus de 2400 infirmières au cours des cinq prochaines années et ce sans compter les autres professions de la santé. « Nous devons nous assurer que nos diplômés puissent trouver un emploi ici sans avoir à quitter notre province et nous devrons convaincre ceux qui sont partis de revenir chez nous » a conclu le député d’Edmundston-Madawaska-Centre.

 

 

 

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