Un gouvernement libéral réélu améliorera son emblématique Programme des droits de scolarité gratuits en augmentant le montant plafond du revenu de base à 70 000 $ par rapport au plafond actuel de 60 000 $, et l’indexera ensuite à l’inflation. Il augmentera également en conséquence l’échelle mobile du Programme d’allègement des droits de scolarité pour la classe moyenne.

 

 

Gallant a expliqué qu’un gouvernement libéral réélu ajusterait l’échelle mobile du Programme d’allègement des droits de scolarité pour la classe moyenne afin de maintenir la cadence avec les améliorations du Programme des droits de scolarité gratuits.

 

En 2016, le gouvernement Gallant a créé le Programme des droits de scolarité gratuits, qui fournit une assistance financière sans précédent et vient complémenter les programmes fédéraux qui subventionnent les droits de scolarité pour les étudiants et étudiantes des familles à faibles et moyens revenus, assurant que le plein coût de ces frais pour un étudiant ou étudiante néo-brunswickois qui poursuit ses études dans une université ou un collège public soit couvert si leur revenu familial est en deçà de 60 000 $.

 

En 2017, le gouvernement libéral a annoncé le Programme d’allègement des droits de scolarité pour la classe moyenne, qui fournit de l’assistance financière selon une échelle mobile pour les étudiants et étudiantes dont les revenus familiaux se situent au-delà de 60 000 $ et qui est basé sur le revenu familial et le nombre d’enfants. Le programme de départ couvre jusqu’à 95 pour cent du coût des frais de scolarité sur une échelle mobile pour les étudiants et étudiantes néo-brunswickois qui sont inscrits dans une université ou un collège néo-brunswickois financés par les fonds publics. Notamment, aux termes du programme de départ, pour une famille d’une ou de deux personnes, la subvention s’élimine progressivement quand le revenu atteint 75 000 $, alors que pour une famille de sept personnes ou plus, la subvention s’élimine progressivement quand le revenu familial atteint 123 500 $.

 

L’année dernière, 6 319 étudiants et étudiantes admissibles ont bénéficié des frais de scolarité gratuits en suivant des études dans une université ou un collège financé par des fonds publics au Nouveau-Brunswick. Parallèlement, 1 425 étudiants et étudiantes admissibles ont bénéficié du programme d’allègement des droits de scolarité pour la classe moyenne l’année passée.

 

En plus d’aider les étudiants qui ont le plus besoin de soutien, les programmes d’allègement des frais de scolarité créés par le gouvernement libéral encouragent les étudiants et étudiantes du Nouveau-Brunswick à poursuivre leurs études au Nouveau-Brunswick dans des collèges et des universités financés par les fonds publics.

 

« Blaine Higgs et les conservateurs sont contre le Programme des droits de scolarité gratuits », a déclaré Clare Manzer, candidate libérale dans la circonscription de Saint John-Est. « Blaine Higgs essaiera de prétendre qu’il va maintenir le programme si les conservateurs sont élus, mais détrompez-vous, il a clairement indiqué qu’il se débarrasserait du programme des droits de scolarité gratuits, même si plus de 6 000 étudiants et étudiantes néo-brunswickois ont bénéficié de cet investissement l’année dernière seulement ».

 

Le gouvernement libéral reconnaît la valeur essentielle d’une éducation publique gratuite ou abordable, autant pour les individus que pour la province dans son ensemble. C’est la raison pour laquelle les libéraux de Brian Gallant ont investi plus que jamais dans la petite enfance et l’éducation, et ce, dans toute l’histoire de la province, ayant annulé les coupes planifiées par le gouvernement conservateur précédent et augmenté le budget général de 15,9 pour cent depuis son entrée en fonction en 2014. De pair avec les nouveaux plans d’éducation de dix ans, le gouvernement libéral a mis en œuvre les changements essentiels suivants :

  • Des services à la petite enfance plus abordables et de meilleure qualité, y compris des frais de garderie gratuits pour les parents à faibles revenus et du soutien financier pour ceux et celles à moyen revenu ;
  • L’ajout de 3 000 places en garderie et l’engagement à étendre le nombre total d’espaces au Nouveau-Brunswick à 30 000 d’ici 2020 ;
  • 100 enseignantes et enseignants additionnels dans le système scolaire maternelle-douzième année ;
  • Des investissements en littératie qui ont déjà généré des résultats d’examens améliorés ;
  • Le retour des métiers dans le système scolaire du Nouveau-Brunswick et le rajout de nouveaux programmes, comme le codage.

 

 

 

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